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Nous vivons dans un univers vital. Cet univers englobe tous les vivants de la terre, les êtres humains inclus, à moins qu’ils ne soient robot ni ET.
La vie d’une personne est une trace historique personnelle de ce qui se produit sur elle dans l’espace qui l’environne et dans le temps qui l’évolue. La trace historique de la personne se constitue donc de l’ensemble des mémoires de ce qui se produit sur elle dans son espace et dans son temps.
Autrement dit, l’histoire personnelle se base sur le cumul de mémoires de la personne, sans lequel elle ne peut pas avoir lieu ni se présenter. Cette réflexion vérifie une telle hypothèse que l’histoire de la race humaine se base sur le cumul de ses mémoires, sans lequel elle ne peut pas avoir lieu ni se présenter.
Partant de cette hypothèse, il s’avère qu’il y a deux sortes de mémoires.
La première, c’est la mémoire intra-utérine. Il s’agit des mémoires de la nature, héritées par la vie humaine de génération en génération, prenant leur origine dans l’utérus de la première mère de la race humaine, évoluée dans le temps le long du processus évolutif durant 4 milliards d’années, et
La deuxième, c’est la mémoire extra-utérine. Il s’agit des mémoires de tout ce qui est créé, inventé, développé ou rejuté par l’être humain, descendant de l’homo sapiens, cumulées dans ses tissus intellectuels de génération en génération, durant 7 millions d’années d’existence dans l’environnement terrestre, vital, communautaire et culturel.
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