Version française Mémoires de la vie et de l’être

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Le corps humain se constitue de la nature corporelle en même temps que du don intellectuel de s’exprimer logiquement en quelle langue que ce soit. C’est un don du ciel privilégié offert à l’être humain. Toute la mémoire de la nature se transmet au bébé au stade prénatal, par transmission intra-utérine, qui, dès sa naissance, se met à exploiter et à déployer son talent intellectuel. Exploitant son tissu intellectuel, ce don intellectuel développe la mémoire extra-utérine, et ce exclusivement à jamais dans la continuité de la nature, qui sert de la couveuse vitale au corps humain. Faisant partie du corps humain, le don intellectuel exploite son tissu intellectuel et développe sa mémoire de l’être uniquement dans la continuité de la nature. Le don intellectuel ne peut être donc pas incompatible avec la mémoire de la vie. Même si une idée abstrait germe du côté de la mémoire de l’être, celle-ci doit avoir son homologue du côté de la mémoire de la vie, de manière à ce qu’elle puisse tourner autour de son homologue qui puisse tourner autour d’elle en même temps, et ce dans les axes articulés en forme de la boucle de Möbius. Si ce n’est pas le cas, elle finit par disparaître de l’univers de la vie pour toujours. Si une idée abstraite germe du côté de la mémoire de l’être, et dans le cas où cette idée ne trouverait pas son homologue du côté de la mémoire de la vie, elle ne peut pas s’intégrer dans la boucle de Möbius des mémoires intra et extra utérines, donc elle s’en va et disparaît au dehors de l’univers vital. Il serait mieux de répéter que lidée abstraite finit par disparaître au dehors de l’univers vital si elle n’a pas son homologue dans la mémoire de la vie. Imaginons une nouvelle théorie avancée. Elle dit : « Le meurtre pour le meurtre est une des solutions sollicitées par l’humanisme. »
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