猫だって、みてるんだ

Français Petite écriture Femmes japonaises en costume blanc

Le deuxième est le lynchage médiatique.

Dans l’esprit des législatrices japonaises toutes blanches et les législateurs embellis avec les mouchoirs blancs, il n’y a aucune conviction pour endosser l’essence civique des prédécesseurs, ni le courage de se servir de la pommade empoisonnée dévouée à la chasse des sorcières. S’il y a quelque chose dans leur esprit, c’est la conviction obstinée à chasser tout ce qui ne leur plaît pas à travers la manipulation des informations médiatiques, en même temps qu’à éliminer la diversité de nature à tolérer toute excuse, explication, justification ou toute autre action défensive. On y trouve une conduite mystérieuse parfaitement équivalente au lynchage médiatique unilatérale et intolérante.

Le troisième est la métamorphose.

Depuis la fin du 20e siècle jusqu’au début du 21e, le capitalisme s’est transformé en le capitalisme financier en concevant de nouvelles directives dirigeantes d’investissement auprès des entreprises multinationales et à travers la revalorisant de l’archimie par la révision de la structure des bénéfices. À l’heure actuelle, il s’exploite dans la phase finale du contrôle des médias après avoir digéré et absorbé l’essence de l’autocratie communiste. Pour l’instant, il garde à peine son apparence de globalisme pseudo-démocratique maintenant la division des pouvoirs, au-dessous duquel prend forme un nouveau système dynamique. Celui-ci va se transformer en le globalisme autocratique financier, qui rejette finalement trois pouvoirs de souveraineté nationale et se met à s’occuper de tout contrôle à l’échelle globale appartenant à lui-seul. C’est l’enclenchement de la fameuse opération appelée la remise à zéro au sol dans la prospective de transformer le monde actuel en celui nouveau avec la société divisée achevée, là où un nombre restreint de toxicomanes vénaux peuvent se permettre, exclusivement avec des richesses et des privilèges, de propager le contrôle autocratique jusqu’aux moindres terres de notre globe. Le monde obscur couvert de l’autocratie globale est déjà sur nous.